Salut les Fan-pires ^^

Coucou les filles! bon j'ai tjs pas internet mais je suis à la B.U (bibliothèque universitaire) donc j'en profites pour venir sr le forum et d'ailleurs je remarque que j'ai beaucoup de choses à rattraper c'est très angoissant lol
bref sinon pour moi tout va bien, la vie à la fac c'est super, plus de parents sur le dos, des sorties tout les soirs, révision à la B.U etc...
Je m'éclate bien.
Voilà j'espère que pour vous tout va bien!
bisous




Ps : PtiteBella, t'as changée de numéro de tél? j'ai cherché a t'envoyé des sms avec mon nouveau numéro mais ça n'a pas marché....

bé génial si ça marche bien pour toi c'est super pourvu que ça continu et nan je crois pas que Ptitebella ait changé de numéro sinon je le saurai.Si elle a changé et qu'elle me l'a pas dit ça va chauffer pour son matricule^^

C'est cool de nous donner de tes nouvelles.

Kikooo contente que tout va bien pour toi! Pour ce qui est de mon num, n on je n'ai pas changé, mais j'ai essaye de t'envoyer aussi un message et ca n'avait pas marché, je comprend mieux maintenant si tu a changé de port c'est normal^^ Je t'envoie ca en MP

Tu as vu c'est cool la fac hein? Moi j'adore, bon par contre je sort le soir, je boss Lol car medecine c'est chaud il y a pleins de trucs a apprendre voila

bon bah gros bisous et a bientot !!!

Tu fais médecine, Ptitebella ?
C'est cool, ça

Elle va pouvoir donner des tuyaux à ton frère XD
Non je débloque

Sauf que mon frère est plus âgé qu'elle^^

Ton frère fait aussi medecine?

Hi hi hi c'est géniale la fac <3

Oui, il commence sa deuxième

Aloo a écrit:

Sauf que mon frère est plus âgé qu'elle^^

Et ben justement, pour qu'elle réussise sa première année

J'pensais que t'avais dit que Ptitebella lui donnerait des conseils^^
Autant pour moi^^ (ou "au temps pour moi" plutôt)

[Je viens de voir que twilight-actors avait fermé ses portes :-/ ]

Tu comprend rien a la vie toi en fait
xD

oui Aloo j'ai vu ça aussi je suis dégouté j'y allais tout les jours moi snif

Moi aussi :-/
Je leur ai envoyé un p'tit message de soutien

Bon je sais pas trop ou mettre ça alors je le met la lol
Ce sont des poème fait par Songe d'une nuit d'été ils me plaisent bien donc je vous les mets

À toi à jamais
Nous parlons pendant des heures. Tu es là près de moi et je ne peux croire à mon bonheur moi qui n’ais jamais été heureux.

Tu parles, je parle puis le silence. J’ose baisser mon regard vers toi. Tu t’es endormie. Tel un ange qui serait sous ma protection, tu es la belle abandonnée et je me sens le plus heureux des hommes.

J’aimerai te dire à quel point tu m’es essentielle à quel point ta présence est devenue mon addiction personnelle à quel point je suis fou. Fou de tout mais tellement de toi.

La nuit est belle, l’humeur est sombre et son manteaux d’hiver si froid aussi froid que ma peau glacée que tu étreins avec conviction et innocence.

Les mots seuls ne suffiraient pas à te dire à quel point je tiens à toi.

Les mots seuls ne suffiraient pas à te dire combien tu m’es précieuse.

C’était si loin mais si proche à la fois.

Je vous regarde toutes les deux et je me dis que la destinée à bien fait les choses. Liés à jamais dans un amour indicible, unis par des liens plus fort que le mariage ou l’enfantement.

Unis par un lien que personne ne pourra briser.

À toi à jamais



Célébration

La clarté de la lune joue sur ta peau couleur de neige. Tes cheveux sombres répandus comme un éventail sur ton corps sont une invitation à la tentation.

Ton sourire un brin provocateur un brin aguicheur me pousse à t’honorer de toutes les manières qui soient.

Tu es mienne, je suis tiens.

Lorsque je te touche un bonheur enragé étreint mon corps et ma conscience ! Nous sommes à nous, à nous seuls !

Depuis ta renaissance je te célèbre avec mon corps et avec mon cœur qui ne bat plus mais pour aimer c’est que forcément il est encore un peu là.

Je ne me lasserais jamais de toi, tu es mon encas mon dîner préféré dont je pourrais me régaler sans aucune satiété car jamais je ne pourrais me rassasier de toi !

Nous aimer à l’infini des étoiles. Nous aimer à l’infini de la vie.

En cette journée si particulière à mes yeux, je te célèbre comme il se doit, je célèbre mon amour de toi mon amour pour toi.

La clarté de la lune joue sur ta peau couleur de neige. Tes cheveux sombres répandus comme un éventail sur ton corps sont une invitation à la tentation.

Alors je m’y perds à jamais heureux d’avoir enfin trouvé un foyer… notre foyer.

C'est super beau

Attention attention chaleurrrrrrrrrrrr lol voici encore un petit passage qui vient de songe d'une nuit d'été écrit par la personne qui se cache sous le pseudo d'Emmett (j'adore ce site ils disent toujours quelques conneries) bref voici une scène hot entre Bella et Edward je trouve que c'est très bien écrit

Je me trouvais là, devant cette frêle humaine, refoulant mes instincts si précieusement gardés au fond de moi. Comme cela pouvait être dur de lutter contre une nature si sauvage et une proie si charmante. Jouant de moi avec tellement de légèreté que cela en devenait un jeu mortel. Une fois de plus elle me demanda de la mordre, je fis tout mon possible pour évaser ma réponse, ne sachant que trop bien que le peu de volonté que j’avais face à la tentation qui me rongeait ne tarderait pas à céder si je laissais sortir ma véritable nature.

Elle s’approcha de moi et posa sa tête délicatement contre mon épaule, son odeur… si enivrante, sa peau à la couleur si obsédante, la chaleur de sa joue sur ma peau froide. Je sentis sa main à la texture si douce frôler mon bras, remontant jusqu’à mon épaule, cherchant mon cou avec provocation. Serrant les dents je la regardai, tentant de lui cacher le désir qui me rongeait. J’avais pourtant déjà ressenti le désir de planter mes crocs dans la peau douce d’une jeune femme mais jamais je n’avais voulu tenter de parcourir son cou pour y savourer le plaisir coulant sur sa peau.

Comment aurait-elle pu le savoir ? Comment pouvait-elle deviner que mon cerveau se jouait de moi me faisant miroiter des images que je n’aurais jamais du imaginer. Elle se leva sans que je ne le vois , trop plongé dans mes pensées. Elle se mis sur mes genoux et passa ses bras autour de mon cou, me déposant un léger baiser sur le coin des lèvres. Le contact brûlant sur ma peau de marbre m’électrifia.

La raison qui m’empêchait encore de laisser parler ce que j’enfouissais au plus profond de moi disparut en une seconde. Je me relevai et la regarda presque horrifié sachant déjà ce que j’allais faire.

Y survirait-elle ? Le désirait -elle ? Je me rapprocha d’elle presque menaçant, m’arrêtant, si proche d’elle que je pouvais la frôler. Je me penchai en avant et passa ma main dans son dos, pris son menton entre mes doigts et lui fit relever la tête. Je pouvais lire dans ses yeux la crainte et le désir: Ce doux mélange réveilla en moi plus l’homme que le monstre. Je la tira vers moi la collant contre mon corps avec fermeté. Comprenant ce qui lui arrivait, je crus lire sur ses lèvres l’ombre d’un sourire de victoire. Elle posa sa main sur mon épaule et parcouru mon torse avant de venir déposer le bout de ses doigts sur ma bouche. Je fermai les yeux savourant la chaleur sur mon visage. Quand je senti la caresse chaude et humide de sa langue sur mes lèvres tout devint flou autour de moi. Je la saisie alors presque violemment par la taille et la serra contre moi en plaquant fermement mon bras dans son dos. Dans un mouvement elle enserra ma taille de ses jambes et plus vite qu’elle ne pouvait le prévoir je la plaqua violemment contre le mur. Malgré l’état qui prenait possession de moi je fis attention de ne pas oublier qu’elle était humaine, mesurant ma force autant que mon désir me le permettait.

Elle poussa un cri, mélange de douleur et de plaisir qui finit de me faire rendre les armes. Je plongea derechef mon visage dans son cou le parcourant de mes lèvres avec ardeur. Passant ma langue sur sa clavicule savourant, l’arôme si subtil de sa peau dans ce moment d’excitation. Ma main parcourut sa cuisse avant de remonter vers ses fesses que j’agrippai fermement la faisant haleté sous l’effet de surprise. D’un geste rageur je pris son joli petit haut entre mes doigts en déchirant facilement le tissu qui dévoila ses seins. Jouant de ma langue sur sa peau se soulevant à un rythme effréné. Ma bouche glacée ne semblait en rien la déranger, passant ses bras autour de moi, tentant de planter ses ongles dans ma chère morte depuis bien longtemps. Ne pouvant lutter contre ma nature, je risquai mes lèvres sur sa poitrine- avec retenu pour ne pas stopper ce moment je m’amusa à lui mordre les tétons à travers la seule barrière entre mes crocs et sa chaire si tendre. Elle poussa un soupir et agrippa mes cheveux qui me fit relever la tête. Je la vis alors les yeux clos, la respiration saccadée, le front perlé de goûtes de sueur alors que tout son corps était plaqué au mieux. Elle prononça mon nom avec un désir qui me fit perdre pieds, je saisis son menton entre mes doigts et la regarda avec rage, elle me dévisagea et observa mes yeux avec attention. Portant sa main à mon visage elle caressa ma tempe murmurant d’une voix à peine audible « tes yeux! … si noirs ! … pourquoi? »

Comment pouvait-elle encore poser cette question? À cause d’elle bien sur, sa personne si tentante réveilla en moi plus de colère que jamais. Je pris ses mains et les plaqua contre le murs les emprisonnant entre les miennes tout en la fixant dans les yeux. Avant de faire courir ma langue dans son cou insistant avec hargne sur l’endroit que j’aurais voulu meurtrir de mes dents. Je descendis une fois de plus vers ses seins en arrachant d’un geste le dessous. Saisissant avec envie les bouts que je recouvris de mes baisers. Lâchant ses mains je descendis encore plus bas, laissant sur sa peau les marques de mon envies de la posséder entièrement.

Arrivé au niveau de son nombril je me joua d’elle et passa ma langue sur son ventre descendant à une lenteur qui la fit gémir de tant d’attente. Je donna un cou de croc, sans plus de préambule à la ceinture de son jeans dévoilant le dernier rempart m’empêchant de laisser libre cours à mon désir pour cette fragile créature. En attrapant les pants déchirés je le fis descendre lentement en caressant la peau de ses cuisses devenue brûlante d’impatience. Je releva la tête pour l’admirer, elle se cambrait sous le désir que j’avais fait naître en elle, plaquant ses mains sur le murs cherchant désespérément à agripper quelque chose dans ses paumes vide de ma présence. Je déposa un baiser sur l’élastique retenant ce tissus me provocant, mes dents griffa la peau de son bas ventre déchirant d’un geste le mince bout de tissus. Je descendis encore plus bas jouant du bout de ma langue sur l’endroit de son corps le plus chaud. Gardant à l’esprit sa faiblesse de mortelle, retenant mes instincts, mais savourant le goût de damnation qui coulait sur le bout de ma langue avec ferveur. Quand je l’entendis prononcer dans un soupir la seule phrase qui me ramena à la réalité. Dans un murmure elle me demanda de la mordre. Dans un mouvement je me redressa plaqua mes mains de chaque coté de son visage la faisant pousser un cri de surprise, la regarda avec une violence qui l’effraya et disparus de sa chambre dans un mouvement de rage.
Fin

merciiiiiii

Ree voici un autre texte toujours tiré de songe d'une nuit d'été cette fois écrit par Edward quand i la quitté Bella c'est

Sans toi

Sans toi qui n’est plus là pour me sourire pour me rassurer.
Sans toi sans qui la vie est terne et triste à pleurer.

Je n’ai pas de larme, je n’ai pas de cœur alors comment ce fait-il que j’ai mal ? Comment ce fait-il que je pleure ?
Les larmes amères d’un monstre qui est empli de la terreur d’être seul à nouveau.

Là allongé dans un coin d’une pièce ou seul ma peur et mon chagrin me retiennent prisonnier d’une vie insipide et sans saveur. J’aborde le monde avec une infinie lassitude toi qui seul m’avait donné enfin la joie et le gout de vivre.

Si tu savais comme j’ai mal mon cœur. Si tu savais comme je souffre mon ange.
Ma belle, ma douce éternelle.
Sans toi sans qui la vie n’est rien.


Pourquoi ais-je si mal ? Je devrais me féliciter moi qui ais eu le courage de t’abandonner. À moins que cela ne fût que de la lâcheté ?
Non je ne t’apportais rien de bon, rien du tout. Mon amour était égoïste, ma passion destructrice.

Je suis un ange ! Un ange qui s’est brulé les ailes.
Ah ! Je souffre tellement. Quel est donc cet enfer dans lequel je me tiens ? Ils sont là mais je ne les entends plus. Je ne vois qu’elle ne respire qu’elle ne veut qu’elle. Ma douce ma si pure éternelle.


Que fais-tu loin de moi ? Es-tu heureuse ? As-tu repris le cours de ta vie « comme si je n’avais jamais existé » ?
Une part de moi se rebelle à ses mots! Mes poings se serrent, la rage me monte à la tête. D’une main implacable je me frappe le visage en hurlant mais aucun son ne franchit le seuil de mes lèvres fermées depuis que je t’ai quitté.


Être heureuse, c’est tout ce que je te demande que ce sacrifice de ma part ne soit pas vain.


Je t’aime…


Te quiero Mi amore…


Je t’aime si fort que ça me détruit. Pourtant je ne regrette rien. Ni de t’avoir rencontré ni de t’avoir aimé. Non, je ne regrette pas mais pourtant je me hais ! Non, pas toi ! Je me hais d’avoir eu le courage de t’abandonner pour te libérer de ma monstrueuse emprise.

Je
Me
HAIS


Le cœur a ses raisons que la raison ignore mais pour une fois la raison a eu raison du cœur. On me félicite, on me dit que j’ai fait le bon choix.
Mais toi ? Toi sur qui tout reposait comment as-tu pu croire un seul instant que le ramassis de bêtises que je te débitais était réel ? Mon amour était-il si peu visible à tes yeux ? Ne t’avais-je pas dit que tu étais ma vie ? Que tu ES ma vie ! Comment ? Pourquoi ?


Es-tu heureuse ? M’as tu oublié comme je te l’ai demandé…


Non…


Ne plus respirer, ne plus penser, ne plus espérer, ne plus souffrir, ne plus, ne plus, ne plus…


J’ai mal. Je vais exploser. Tu as eu raison du monstre. Le monstre n’est plus qu’une loque à terre vide de substance.
Tu es ma substance, mon essentielle.


Vouloir mourir pour ne plus avoir à souffrir. Ne plus espérer.


Hélas ! Je ne peux mourir car je le suis déjà. Tu as fait de mon existence, non j’ai fait de mon existence mon enfer personnel mais une part de moi sera heureux si tu l’es.
Je t’en pris, je t’en conjure mon éternelle, vis pour moi, chante pour moi, souris pour moi car ton sourire sera le plus beau cadeau que tu feras à mon sacrifice.


Sans toi qui n’est plus là pour me sourire, pour me rassurer.
Sans toi sans qui la vie est terne et triste à pleurer.


Sans toi pourtant je resterai celui qui t’aimera …


À Jamais

Trop beau

bon je sais pas trop ou mettre ça donc je le met la ^^
j'ai trouvé ça sur Songe d'une nuit d'été des dessins sur Alice et Jasper...certains sont assez hot je préviens, mais je trouve qu'ils sont très bien déssiné bref c'est par la

C'est sur qu'il y en a certains qui sont assez hot mais ils sont super bien dessiné
J'aime bien celui avec toute la famille CUllen

Ils sont vraiment magnifiques !
Moi aussi j'adore celle avec tous les Cullen^^ (Alice : A FERRARI, A FERRARI ! et Rosalie une robe Chanel 1948 xD)